Voilà la question sur le telemark à laquelle j’ai dû répondre récemment et mon interlocuteur m’a un peu désarçonnée (on était à cheval). Cela donnait à peu près ça :
- Pourquoi tu fais du telemark ?
- Parce que c’est génial... parceque je prends beaucoup de plaisir, je ressens plus de sensations…
- Ha oui ? tu vas plus vite qu’en ski ? c’est plus performant ?
- Heu… non pas vraiment, mais…
Et là, je commençais à me rendre compte que j’aurai du mal à exprimer les sensations du telemark, à cet interlocuteur assoiffé de performances.
L’histoire du telemark, la vie de Sondre Norheim, les talons libres… seraient tombés à plat…
Mais, j'ai trouvé l'argument qui tue le non-telemarkeur !